Les Bienfaits du Chaga


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Un Complément Alimentaire Plein de Nutriments Importants

Le champignon Chaga est une merveilleuse source naturelle de vitamines et minéraux essentiels requis pour être en bonne santé. Le Chaga est riche en vitamines B, D et K, qui sont essentielles à la santé. Très souvent, il est absolument nécessaire de maintenir des niveaux sains de ces vitamines.

De plus, le Chaga contient de nombreux minéraux dont le corps a besoin pour être en bonne santé. Le zinc, le fer, le calcium, le magnésium et le potassium sont quelques uns des minéraux nécessaires à la santé et que l’on trouve dans ce complément alimentaire. Avoir un taux approprié de ces nutriments aide à être en bonne santé, et ce à tous les niveaux ; que ce soit avoir une belle peau, un métabolisme sain, un système immunitaire fort et bien plus encore.

Des Propriétés Antiallergiques

Une récente étude a démontré que l’extrait de Chaga permettait d’empêcher une réaction anaphylactique de se produire. L’étude a également démontré une diminution du taux d’IgE. Le taux d’IgE augmente en présence des allergènes et cause des réactions inflammatoires et allergiques extrêmes. Réduire ce taux est essentiel pour ralentir et enrayer une réaction allergique.

Bien que plus d’études soient nécessaires, il est déjà évident que ce complément alimentaire serait très bénéfique pour les personnes souffrant d’allergies chroniques. Ce champignon est un merveilleux complément alimentaire, de source naturelle, bénéfique au niveau nutritionnel et capable d’aider à réduire ces horribles symptômes d’allergies, sans tous ces indésirables effets secondaires provoqués par les médicaments antiallergiques habituels.

Soulage le stress

Depuis les années 1950, des études ont montré que les éléments présents dans les extraits de Chaga ont la capacité d’aider à réduire le stress. Connues sous le nom d’adaptogènes, certaines substances végétales ou naturelles ont la capacité de vraiment réduire les sentiments écrasants associés au stress.

Le Chaga est un adaptogène puissant. Il est facile à consommer, complètement naturel, dispose d’autres particularités utiles, est fiable sur le plan nutritionnel et offre une façon plaisante de combattre le stress. Il est reconnu que la réduction du stress a un impact positif sur la santé en général. Le stress peut causer de nombreux troubles physiques. Consommer ce complément alimentaire est une formidable façon de surmonter son stress et ainsi de ne pas endommager sa santé.

Combat le Vieillissement

En vieillissant, notre corps subit des changements significatifs qui sont souvent assez déplaisants. Les radicaux libres s’accumulent, la peau est moins saine, des maladies inflammatoires telles que l’arthrite se manifestent et notre santé globale est sur le déclin. Les extraits de Chaga peuvent aider à contrer ces processus et à réduire les effets de l’âge.

Certaines substances présentes dans ces extraits permettent de combattre les inflammations et de réduire la quantité de radicaux libres présents dans le corps. La peau est en meilleure santé et de nombreuses conditions cutanées sont grandement améliorées par une prise régulière de ce complément alimentaire. Une santé globalement améliorée vous fera certainement sentir plus vivant et vous donnera une apparence plus jeune.

Aide Enormément le Système Immunitaire

Le Chaga contient des éléments qui permettent de combattre les inflammations et la fièvre. Il contient également des éléments aux propriétés antibactériennes, et peut-être même antivirales. Un des éléments de ce complément alimentaire est l’acide bétulinique, connu pour avoir plusieurs des propriétés mentionnées ci-dessus, mais également pour peut-être avoir des propriétés permettant d’empêcher le développement des tumeurs.

Les polysaccharides présents dans ce complément alimentaire sont également connus pour stimuler la production des globules blancs, impératifs pour un système immunitaire sain. Parce que combattre les maladies est la fonction du système immunitaire, et que ce dernier peut parfois être facilement débordé, ces compléments alimentaires peuvent réellement apporter une aide bien nécessaire au système immunitaire. Préserver un système immunitaire fort est essentiel pour un corps en bonne santé.

Combat le Cancer

Des études ont démontré que le Chaga peut aider à combattre le cancer, et ce de plusieurs façons. Certains des éléments chimiques présents dans le Chaga semblent permettre d’inhiber la croissance du cancer du colon, de l’enrayer et même de tuer d’autres cellules cancéreuses. En plus de ralentir ou même de bloquer la croissance de la tumeur, il a été démontré que cet extrait permet de réduire les effets secondaires négatifs de la radiothérapie.

Dans au moins une étude, il a été démontré que les éléments présents dans le Chaga inhibaient la croissance de la tumeur et tuaient même les cellules cancéreuses, et ce sans endommager les cellules saines. Etre capable d’utiliser une substance naturelle, sans effets secondaires néfastes, pour aider à combattre le cancer est une propriété extrêmement positive du champignon Chaga.

Soins de la Peau

Le Chaga aide vraiment à maintenir l’éclat de la peau et à réduire les signes du vieillissement tout en assainissant la peau à son niveau cellulaire. Consommer ce complément alimentaire donne à la peau une apparence plus saine et de manière générale plus belle. Une peau saine est importante car la peau est une bonne indication de notre santé générale.

Il a été démontré que consommer du Chaga quotidiennement améliore l’apparence et l’état de la peau. Des conditions difficiles à soigner telles que la rosacée et le psoriasis semblent répondre favorablement à l’utilisation de ce complément alimentaire incroyable. Avoir une peau saine donne une meilleure apparence et avoir une meilleure apparence permet tout simplement de se sentir bien jour après jour.

Améliore la Santé Cardiovasculaire

Les phytostérols présents dans l’extrait de Chaga seraient susceptibles d’aider à réduire le cholestérol et cela peut représenter un bénéfice important pour la santé cardiovasculaire. Les propriétés anti-inflammatoires d’autres éléments chimiques présents dans les extraits de Chaga, sont également importantes car ces derniers favorisent la santé du cœur et des poumons. Les bénéfices santé sont nombreux car les composants présents dans l’extrait sont certainement capables de favoriser une bonne circulation,

une bonne santé cardiaque et cardiovasculaire.

Certaines études ont suggéré que le Chaga pourrait également être efficace contre les varices, aidant ainsi le système circulatoire à rester en bonne santé et permettant de réduire les problèmes de douleurs et de démangeaisons associées à ces conditions. La santé cardiaque et circulatoire est d’importance vitale. Consommer quotidiennement du Chaga est une façon simple et naturelle de garder ces systèmes en bonne santé.

Aide à avoir un Système Digestif Sain

Le Chaga peut favoriser un système digestif sain, et ce de nombreuses façons. Tout d’abord, plusieurs préparations contiennent des fibres alimentaires qui aident l’appareil digestif à rester en mouvement. Ensuite, les propriétés anti-inflammatoires de nombreux de ces composants présents dans cette substance naturelle, aident à résoudre les problèmes d’estomac.

Enfin, le Chaga favorise la santé des autres organes qui constituent le système digestif avec l’estomac comme le foie, les intestins et la vésicule biliaire. Ces trois propriétés des composants présents dans le Chaga s’associent et, non seulement permettent réellement une digestion plus facile, mais conduisent également à moins de gastrites, moins de troubles de l’estomac et favorisent même la régularité.

Source: https://chaga.ca/Les-Bienfaits-du-Chaga

par Sortir du Chaos et de l'illusion

Lettre à un réfugié syrien


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Au Québec, la joie de vivre est de mise. Nous sommes un peuple accueillant, tu le constateras facilement. Tu ne risqueras pas ta vie à chaque coin de rue et tu n’auras pas à mendier. On va te donner un toit et des vêtements chauds pour que tu puisses rapidement t’acclimater et passer à la seconde étape, celle de gagner ta vie tout en apprenant notre langue. Mais tu t’étonneras sans doute de voir des milliers d’itinérants se promener à travers la ville, à la recherche d’un gîte et de nourriture. Pour une société qui se targue d’être riche et de protéger ses citoyens, c’est plutôt honteux.

Tu verras ici et là des grévistes et des manifestants, pancartes à la main, malgré le froid, exigeant de meilleures conditions de vie. Tu craindras un instant pour ta sécurité car tu verras des déploiements policiers, bien armés, tenter de repousser les manifestants, et cela te rappellera de mauvais souvenirs. Et si tu as besoin de te rendre à l’hôpital pour soigner cette blessure que tu t’es faite en glissant sur les trottoirs mal déneigés, tu devras attendre une douzaine d’heures avant de rencontrer un médecin. Les explications à tout cela viendront en temps et lieu, comme je te le disais précédemment.

Pour l’instant, je veux t’inviter chez moi pour que tu partages mon modeste repas et mon humble demeure. Tu mangeras peut-être un pâté chinois, des pâtes, de la viande ou du poisson. Je ne connais pas tes préférences et j’espère que tu apprécieras néanmoins le plat que je t’aurai préparé et auquel j’aurai ajouté quelques épices qui te rappelleront, j’espère, ton lointain pays. Nous sommes des gens simples, mais nous aimons faire plaisir à ceux qui nous visitent.

Je te montrerai ma bibliothèque et je te parlerai des poètes et des écrivains d’ici. Je sais que tu viens d’un pays d’une culture immense, dont la civilisation remonte à plus de 2500 ans avant J.-C. J’espère qu’un jour, lorsque tu maîtriseras bien notre langue, tu reviendras chez moi pour m’emprunter un ou deux ouvrages qui te parleront de notre combat pour la survie et de notre histoire en cette terre d’Amérique. Mes nombreux enfants se feront, eux aussi, un plaisir de te guider dans ce dédale de ta nouvelle vie, pour que tu t’intègres le plus rapidement possible. On veut que tu sois des nôtres, à nos côtés, que tu comprennes pourquoi nous voulons un pays qui nous ressemble, avec notre façon bien particulière d’appréhender la réalité, notre bonheur, notre joie de vivre. Tu viendras célébrer avec nous la Fête nationale, tu prendras une bière, mangeras des blés d’inde, danseras et peut-être même trouveras-tu l’amour.

Lorsque tu auras franchi toutes les barrières, je t’attendrai et t’expliquerai calmement pourquoi le Québec a besoin de toi pour que tu l’appuies dans son combat. Tu verras, nous sommes un peuple gai, pacifique et fier et nous ne voulons pas disparaître. Pendant ces mois d’apprentissage, tu auras sans doute découvert que nous sommes une société distincte du reste du Canada. Ici, nous ne pratiquons pas le multiculturalisme et nous ne voulons pas de ghettos. Nous souhaitons plutôt que tu t’intègres à notre société, sans perdre tes origines. Une seule et même nation, avec une seule langue d’usage, le français. C’est un peu la clé de voûte pour te faire des amis et bien vivre parmi notre grande famille. D’ailleurs tes enfants, qui fréquenteront bientôt nos écoles, seront les premiers à le comprendre et à le faire sans beaucoup d’effort.

Il faut que je te prévienne d’une chose: les Québécois sont très méfiants actuellement, en raison des attentats qui ont été commis en France et ailleurs dans le monde, au nom de la religion musulmane et de l’islam. Il ne faut pas nous en vouloir. Je te le répète, nous sommes un peuple accueillant. Mais il n’est pas question pour nous de sacrifier certains principes qui nous sont chers, comme l’égalité des droits entre les femmes et les hommes.

Voilà, tout n’a pas été dit, tu auras l’occasion de découvrir d’autres aspects de ta nouvelle vie, mais il me semble que l’essentiel est là. Bienvenu chez nous!

Source: http://fr.canoe.ca/infos/chroniques/jacqueslanctot/archives/2016/01/20160122-111808.html#2

par Sortir du Chaos et de l'illusion

Maudite religion


Vous me jugerez certainement, mais je n’ai plus de patience avec les religions, peu importe lesquelles.

C’est simple, je ne veux pas savoir quelle est votre religion. Je ne veux pas savoir si vous êtes musulman, catholique, bouddhiste ou raëlien. Pourquoi? Parce que je ne veux pas savoir si votre religion oblige les femmes à se voiler, encourage la charia, vous oblige à ne pas regarder une femme dans les yeux, vous incite à vous tenir loin des coutumes de mon pays ou que vous faites partie de ces religions qui condamnent mes amis homosexuels.

Parce que si je le sais je vais moins vous respecter. Je suis comme cela, j’ai de la difficulté à respecter les gens qui ne respectent pas les droits des femmes ou ceux d’une certaine partie de la population.

Je vais moins te respecter parce que je suis une femme et que j’ai les mêmes droits que les hommes, parce que j’ai des amis homosexuels, parce que ma grand-mère s’est divorcé et a été reniée de son église, parce que la plupart des religions ne prônent pas les valeurs d’équité, de tolérance, de justice, d’égalité entre les sexes, entre nationalités et entre les orientations sexuelles qui sont si importantes pour moi.

Si vous portez un voile, les boudins, un kirpan, un kit de soeur, etc. cela veut dire que vous endossez une religion qui contrevient à mes valeurs et (je suis désolé) celles de mon pays aussi, ou les gais, les transsexuels, les lesbiennes, les femmes et les hommes sont sur le même pied d’égalité.

Je veux bien être tolérante, mais j’ai de la difficulté quand au parc une petite fille voilée de 7 ans, ne peut pas jouer dans les jeux d’eau avec ses frères parce qu’elle est habillée de la tête au pied à 40 degrés Celcius au soleil.

Je veux bien être tolérante avec le baptême des petits de ma famille, mais quand l’église condamne l’avortement et le mariage gai, désolé ma tolérance est mince.

Je veux bien être tolérante, mais quand je ne peux pas m’adresser directement à un homme parce que j’ai un vagin, ma tolérance prend le bord.

Quand votre religion vous éloigne de ceux qui sont différents de vous, je la tolère mal votre religion. Quand votre religion vous dit qu’il faut essayer de convertir les autres, en venant sonner à ma porte, avec vos enfants, je deviens écœuré et dégouté.

La religion, surtout quand elle-même ne respecte pas certaines catégories de gens, ne peut me demander de la tolérance.

Je suis pour la spiritualité. Je suis pour la troisième définition de la spiritualité, celle qui dissocie «Dieu» de la foi. La spiritualité sans «Dieu» qui permet de remercier, d’être reconnaissant, de te recueillir, de demander, de faire l’introspection et d’être serein.

Si vous pratiquez, je ne veux pas le savoir. Je ne veux pas que mon pays te permette d’envoyer tes enfants dans des écoles qui prônent seulement ta religion. Je suis contre les écoles juives, contre les écoles catholiques, contre toutes les écoles exclusives à une seule religion. Parce qu’en faisant cela mon pays et ma province acceptent que les jeunes se «getthorisent» et se ferment sur les autres.

Je refuse que chez nous on accepte de fermer des fenêtres sous prétexte que des femmes y font du vélo en short. Je refuse que l’on appelle une personne du sexe de ton choix pour te servir. Parce que chez nous tout le monde est égal. PÉNIS et VAGIN sont égaux. Les femmes et les hommes font le même travail. Ta religion ne doit pas venir déranger les autres. Pratique là. Chéris là, mais ne vient pas changer les règles qui sont bonnes pour tous.

Je suis en furie quand tu me demandes de presser le bouton de l’ascenseur parce que tu ne peux pas y toucher à cause de ta religion. Je suis en colère quand c’est ta femme qui me parle au lieu de toi quand je donne des services de santé parce que tu n’as pas le droit de t’adresser à moi. Parce que j’ai le droit d’être respecté. Le respect dans la laïcité c’est de se faire parler correctement, de ne pas avoir à faire des pirouettes pour te faire plaisir et d’être traitée de façon égale que l’on soit un homme ou une femme. Quand tu me fais mettre les deux paires de gants au cas où ma peau toucherait la tienne, je deviens une ATHÉO-LAÏQUE EXTRÉMISTE.

Je suis fâché que les Canadiens permettent et fassent des pirouettes pour accommoder toutes les religions. Que l’on accepte le crucifix veut dire que l’on endosse les homophobes et les pro-vies. Que l’on accepte le voile veut dire que l’on accepte les inégalités hommes femmes. Que l’on accepte le drap sur le visage des femmes signifie que l’on endosse une religion misogyne.

En tant qu’athée laïque (et Canadienne/Québécoise) je voudrais que les objets religieux qui nous permettent de distinguer «qui croit en quoi» disparaissent. Que l’on cesse les caprices religieux. Que l’on refuse les lieux comme les écoles ou l’on apprend et valorise une seule religion, incluant le rejet de l’homosexualité, de l’avortement et l’infériorité de la femme, sans aller vers la connaissance de toutes les religions et de la laïcité en permettant aux Canadiens de faire des choix plus éclairés dans leurs pratiques religieuses.

Et en passant, la tolérance et le respect c’est réciproque, ça ne va pas que dans un sens.

Bianca Longpre

Source: http://quebec.huffingtonpost.ca/bianca-longpre/maudite-religion_b_8227426.html

 

par Sortir du Chaos et de l'illusion

La racine de pissenlit: Plus efficace que la chimiothérapie


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Vous vous souvenez peut-être comment votre grand-mère vous faisait un sirop de pissenlit pour votre santé, sachant que cette plante a de nombreuses propriétés médicinales, mais ce qu’elle ne savait pas, c’est que la racine de pissenlit aide les personnes diagnostiquées du cancer.

Cette plante est négligée, voire détruite, et tout ce que vous avez à faire est de la ramasser, juste à l’écart des routes.

Les scientifiques ont confirmé que la racine de cette plante est plus efficace que la chimiothérapie car les traitements chimiques détruisent toutes les cellules, alors que la racine de pissenlit ne tue que les cellules cancéreuses.

Elle a par ailleurs des propriétés diurétiques, elle stimule la sécrétion de bile, nettoie le foie, les reins, offre une aide pour les conditions allergiques et réduit le cholestérol. Elle contient des vitamines très importantes comme la vitamine B6, la thiamine, la riboflavine, la vitamine C, et aussi du fer, du calcium, du potassium de l’acide folique et du magnésium.

Elle contient 535% des apports journaliers de vitamine K et environ 110% des apports journaliers de vitamine A. Ces faits sont connus depuis des décennies.

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Un groupe de chercheurs du département de chimie et de biochimie à l’Université de Windsor, au Canada, a mené la recherche initiale et les résultats ont suscité un nouvel espoir pour tous ceux qui souffrent d’un cancer. La racine de pissenlit s’est avérée efficace pour tuer les cellules cancéreuses, sans endommager les cellules saines. Siyaram Pandey, biochimiste à l’université de Windsor, était sceptique lorsqu’une oncologue, le Dr Caroline Hamm lui a suggéré d’entreprendre cette recherche. Elle avait remarqué que quelques patients souffrant du cancer qui avaient bu des infusions de pissenlit semblaient aller bien mieux.

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Siyaram Pandey a commencé cette recherche depuis plus de deux ans en travaillant avec des échantillons de sang leucémique et les effets d’extraits de racine de pissenlit. Lui et le Docteur Hamm ont eu la surprise de constater que les cellules leucémiques d’une forme très agressive connue sous le nom de leucémie myéloïde chronique monocytaire étaient conduites à l’apoptose, ou suicide de ces cellules. Les cellules cancéreuses, anaérobie, sont conduites à l’apoptose en présence d’une forme d’oxygénation ou d’alcalinisation.

Plus surprenant encore, ils ont constaté que les cellules non cancéreuses restaient intactes. En d’autres mots, l’extrait de racine de pissenlit ne ciblait que les cellules cancéreuses, ce qui n’est pas vrai de la chimiothérapie qui tue tout sur son passage.

Ils ont expérimenté avec d’autres types de cellules cancéreuses in vitro (des cultures de laboratoire) et ont trouvé les mêmes résultats. Aux fonds de 60 000 dollars qui leur avaient été initialement alloués, ont été ajoutés 157 000 dollars, pour atteindre 217 000 dollars.

L’infusion de racines de pissenlit désintègre les cellules atteintes en 48 heures, et selon ce que les chercheurs ont trouvé, pas une seule cellule saine n’a été affectée. Les chercheurs en déduisent qu’un traitement continu avec cette racine peut détruire la plupart des cellules cancéreuses, et au vu de ces résultats, l’équipe de chercheurs a reçu des fonds pour poursuivre la recherche sur cette plante miraculeuse.

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John DiCarlo, 72 ans, qui est personnellement convaincu des propriétés curatives du pissenlit, a  subi des traitements de chimiothérapie intensifs et agressifs dans sa lutte contre le cancer. Au bout de 3 ans, les médecins lui ont fait quitter l’hôpital pour qu’il passe ses derniers jours avec sa famille.

Les médecins luttaient pour trouver une solution efficace pour lui, mais ils avaient peu d’options. Ils ont conseillé à cet homme de boire des infusions de racine de pissenlit, car c’était pour lui la dernière chance dans son combat contre la leucémie. Au bout de quatre mois, il est retourné à la clinique. Il était en rémission, ce qui signifie que le cancer a commencé à régresser, et a fini par disparaître. Cela fait trois ans qu’il est guéri du cancer. Il a dit que son médecin attribue cette guérison aux racines de pissenlit. DiCarlo a été interviewé par CBC News pour faire connaître ce succès.

 C’est également ce qui s’est produit pour le fermier George Cairns des USA. Il a guéri son cancer de la prostate très douloureux avec de la poudre de racine de pissenlit. Il a ensuite rédigé les instructions dans un journal local. Il a pris cette infusion pendant 3 ans et ses douleurs avaient commencé à disparaître quelques jours après le début de sa cure. Maintenant, il a 80 ans et il est complètement guéri.

Il indique qu’il a broyé les racines mécaniquement, pas avec un appareil électrique, et qu’il a pris une tasse par jour du mélange, avec de l’eau ou un jus fait maison – jamais avec un soda ou des boissons chaudes.

Il est possible également de simplement réduire la racine en petits morceaux et d’en faire une décoction: porter à ébullition; dès ce moment, baisser le feu et laisser mijoter pendant 15 ou 20 min.

Le nombre de tasses à prendre chaque jour dépend des réactions individuelles. George Cairns n’en prenait qu’une tasse par jour.

La fraîcheur et la qualité de tout remède botanique est d’une importance vitale. George Cairns indique qu’il est important de laisser un tout petit peu de terre sur la racine car celle-ci contient également des bactéries bénéfiques.

Il est important de tenir compte des différents facteurs de vie. Une maladie peut être déterminée par des facteurs émotionnels, un environnement peu propice, etc. Les personnes présentées ici étaient dites « en phase terminale », la médecine ne pouvait plus rien pour eux. Si ces personnes sont parvenues à préserver leurs cellules saines et surtout les renforcer, et réduit leurs cellules cancéreuses à l’apoptose, à plus forte raison, un traitement aussi efficace, accompagné d’un style de vie sain, doit aider encore mieux des personnes moins affectées. La nature semble receler de si nombreux bienfaits qu’il serait dommage de l’ignorer. Un extraordinaire bienfait comme celui présenté ici, n’implique pas que d’autres ressources soient moins efficaces, mais ouvre au contraire une large perspective sur des richesses à portée de main.

Sources:
www.cbc.ca
www.uwindsor.ca
www.uwindsor.ca
www.rense.com
blogs.windsorstar.com
www.naturalnews.com
www.winnipegfreepress.com
www.whale.to
undergroundhealthreporter.com
www.cancertutor.com
www.youtube.com

Source: Santé Nutrition

par Sortir du Chaos et de l'illusion

L’Escroquerie des Statines – par le Dr Dwight Lundell


Source vraies causes des maladies cardiaques: http://www‌.spacedoc.‌com/statin_scam    

Pendant 25 ans, j’ai consacré ma vie à soigner les maladies cardiaques en tant que chirurgien thoracique; plusieurs milliers de patients ont eu une seconde chance dans leur vie grâce à moi.

Mais il y a quelques années j’ai pris la décision la plus difficile de ma carrière médicale. J’ai arrêté la chirurgie que j’aimais pour avoir la liberté nécessaire pour dire la vérité sur les maladies cardiaques, l’inflammation, les statines et les méthodes actuelles de traitement des maladies du cœur.  

C’était une période excitante pour un jeune chirurgien cardiaque dans les années 80. Une nouvelle technique chirurgicale, le pontage coronarien, était le seul traitement efficace pour les personnes qui souffraient de maladie coronarienne grave. Notre capacité à sauver des vies augmentait et les risques de la chirurgie diminuaient avec l’amélioration des techniques et de la technologie.

Des patients très malades pouvaient être remis sur pied avec un risque relativement faible, ce fut un défi passionnant. Pendant ma carrière comme chirurgien j’ai fait plus de 5000 opérations de pontage coronarien.

Le consensus était à l’époque qu’un taux de cholestérol élevé dans le sang entraînait un dépôt graduel (de cholestérol) dans le canal du vaisseau sanguin. Nous avions deux choix de traitement évidents; baisser le taux de cholestérol sanguin ou opérer pour détourner le sang autour de la plaque accumulée dans l’artère, pour rétablir le flux sanguin et la fonction du muscle cardiaque.

Cependant, il y avait relativement peu de recherches en cours pour connaître la cause de la plaque. Pour la communauté médicale, il fallait simplement contrôler les graisses saturées et le cholestérol.

Les statines – celles que votre médecin vous prescrit avec insistance si votre cholestérol est légèrement élevé – et Bernie Madoff ( le fraudeur financier désormais tristement célèbre ) ont tous deux fait de nombreuses victimes innocentes, et de nombreux partisans sincères mais trompés. Ce sont d’énormes escroqueries perpétrées sur des personnes crédules.

Les statines représentent un marché mondial de plus de 30 milliards de $ par an, et ceci depuis de nombreuses années. En outre,le dépistage et le traitement du cholestérol coûte environ 100 milliards de $ par an sans aucun avantage notable pour les victimes, je veux dire les patients.

Je ne sais pas si M. Madoff voulait frauder quand il a débuté, mais à la lecture des rapports, il semble qu’il ne contrôlait plus rien, et qu’il continuait à mentir pour garder l’argent qui circulait dans ses coffres et perpétuer ainsi son mode de vie somptueux.

Je ne sais pas si les fabricants de statines voulaient escroquer au début, mais ils n’avaient pas non plus l’intention de renoncer à un marché annuel de 30 milliards de dollars facilement. Il y a beaucoup de médecins sincères, bien intentionnés et profondément convaincus qui continueront de soutenir la théorie que le cholestérol alimentaire et les graisses saturées entraînent des maladies cardiaques.

Ils continueront à penser que les médicaments pour diminuer le cholestérol vont traiter avec succès et prévenir les maladies cardiaques, malgré qu’une étude publiée dans l’American Heart Journal (Janvier 2009) analysant 137 000 patients admis dans des hôpitaux aux Etats-Unis avec une crise cardiaque ait démontré que près de 75% des patients avaient un taux de cholestérol « normal ».

Cela a continué à me déranger pendant ma carrière chirurgicale. Je n’ai jamais pensé que le cholestérol pouvait provoquer une maladie cardiaque . Des patients sont revenuspour un deuxième pontage coronarien quelques années après le premier, alors qu’ils avaient un taux de cholestérol normal durant toute cette période.

Dans la salle d’opération, j’avais remarqué qu’il semblait y avoir une inflammation autour de l’artère coronaire que j’étais en train de ponter. Grâce à un marketing brillant et massif, les fabricants de statines ont habilement influencé la science et contrôlé la politique publique pour que la prescription de statines devienne la norme de soins. Toute personne critiquant ces politiques ou en désaccord avec elles est étiqueté comme hérétique, ignorée et ridiculisée.

La US Food and Drug Administration (FDA), Le National Cholesterol Education Program, L’American Heart Association et de nombreux centres universitaires sont dirigés et influencés par les médecins qui reçoivent des avantages directs ou indirects par les fabricants de statines. Leur influence est tellement forte que récemment, la FDA a approuvé Crestor ®, une statine, pour traiter les patients avec un cholestérol normal.

Les vraies causes des maladies cardiaques: traiter ou tenter de prévenir les maladies cardiaques avec des statines est dangereux et frauduleux pour deux raisons:

1.) Des effets secondaires sérieux, meurtriers et invalidants qui sont complètement ignorés par la profession médicale et tenus sous silence par les fabricants de statines. Ces effets secondaires ont été brillamment documentés par le Dr Duane Graveline et d’autres médecins courageux qui osent parler contre la religion officielle du cholestérol et des graisses saturées.

2.) Continuer de se concentrer sur ce traitement inefficace détourne l’attention de la compréhension véritable des maladies cardiaques, et donne aux patients un faux sentiment de sécurité qui les empêche de changer de mode de vie qui pourrait vraiment prévenir et inverser les maladies cardiaques.

Considérez aussi les éléments suivants:  1.) Les statines n’ont pas été prouvées pour aider les femmes de tout âge !  2.) Les statines n’ont pas été prouvées pour aider les personnes âgées de plus de 65 ans !  3.) Les seuls patients qui peuvent – et j’insiste sur le « peuvent » – avoir un avantage, sont les hommes d’âge moyen qui ont déjà eu une crise cardiaque. Il est étonnant de voir toute la littérature médicale qui est financée par les fabricants de statines, et distribuée aux cabinets des médecins par de jeunes représentants enthousiastes qui prétendent que les statines sont bénéfiques.

La très médiatisée étude JUPITER – qui a conduit la FDA à approuver ® Crestor pour les personnes ayant un cholestérol normal – a montré que le traitement de 100 personnes pendant 3 ans avec Crestor ® « peut » avoir empêché une attaque cardiaque.

Cependant, l’approbation a été accordée et des millions de personnes ont été exposées à des risques de statines sans avantage possible, sauf pour le fabricant du Crestor ®. Pensez-vous que le processus est sincère et libre de toute influence indue? En tant que point de référence, si j’avais traité 100 personnes avec l’antibiotique approprié pour une infection, 99% des patients auraient guéri.

C’est pourquoi j’appelle le traitement par statine une escroquerie plus importante et plus dangereuse que celle de Bernie Madoff, au moins ses victimes ont seulement perdu de l’argent, pas leur santé.

Bien qu’étant chef de cabinet et chef de la chirurgie dans un grand hôpital cardiologique, j’ai trouvé que je ne pouvais pas changer la médecine, peu importe combien j’ai prêché et plaidé, peu importe combien de preuves scientifiques j’ai pu rassembler pour prouver que le cholestérol n’était pas un problème et que traiter le cholestérol avec des médicaments était contre-productif.

Alors j’ai pris cette décision difficile et j’ai arrêter de pratiquer pour avoir la liberté de parler, d’écrire et d’enseigner la vérité sur les maladies cardiaques. J’ai écrit un livre La guérison de la maladie cardiaque, qui annonce que la vraie cause de maladie du cœur est une inflammation de faible intensité. En effet sans l’inflammation, le cholestérol ne serait jamais accumulé sur la paroi du vaisseau sanguin pour entraîner la plaque avec sa conséquence éventuelle d’une crise cardiaque et la mort.

www.thecur‌eforheartd‌isease.net  Chief Medical Consultant, Asantae Inc.  Chief Medical Consultant atwww.realweight.com  

Source: Esprit science métaphisiques

par Sortir du Chaos et de l'illusion

L’OMS et l’Unicef viennent de stériliser des populations du tiers-monde sous couvert de vaccination


 

Après les scandales qui ont déjà secoué le Mexique, le Nicaragua et les Philippines, l’OMS et l’Unicef sont à nouveau mis en cause au Kenya pour avoir administré des produits stérilisants à l’insu des patients qu’ils prétendaient vacciner contre le tétanos.

La Conférence épiscopale catholique du Kenya, qui administre de nombreux hôpitaux, a participé à la campagne de vaccination contre le tétanos organisée par l’OMS et l’Unicef en mars et octobre 2014 pour les patients de 14 à 49 ans. Face aux rumeurs qui circulaient, la Conférence épiscopale a demandé au ministre kenyan de la Santé, James Wainaina Macharia, de vérifier la composition des vaccins. Devant son refus, la Commission épiscopale a mandaté le laboratoire AgriQ Quest Ltd pour procéder à des expertises. Les expert ont constaté la présence de 24 à 37,5 % d’hormones beta humaines chorioniques gonadotrophiques (βhCG), une quantité largement suffisante pour provoquer la stérilité des patientes. Le ministre de la Santé a réfuté ces résultats, affirmant qu’il était impossible d’introduire des βhCG dans ces vaccins.

La Commission parlementaire de la Santé a alors invité le ministère d’une part et la Conférence épiscopale d’autre part à lui présenter leurs travaux. Contrairement aux déclarations antérieures du gouvernement, il s’est avéré que celui-ci n’avait pas testé les vaccins avant leur inoculation. Aussi fournit-il alors 10 échantillons du vaccin qui s’avérèrent négatifs, tandis que la Conférence épiscopale en présenta 9, dont 3 s’avérèrent positifs. Le ministère de la Santé se retira du débat.

Mgr Paul Kariuki Njiru, évêque d’Embu et président de la Commission de la Santé de la Conférence épiscopale catholique du Kenya, a alors largement communiqué, accusant l’OMS, l’Unicef et le gouvernement kenyan d’avoir délibérément inoculé à leur insu du βhCG à des patientes afin de les stériliser à leur insu.

Le vaccin du tétanos s’administre en trois prises. Un tiers des doses étaient empoisonnées.

L’Organisation mondiale de la santé n’a pas souhaité communiquer.

par Sortir du Chaos et de l'illusion

Pilules contre le cholestérol: une «fausse sécurité», dit un cardiologue


«Il n'y a pas une médication qui vaut... (Photo Le Soleil, Caroline Grégoire)

Certains les appellent les pilules pour manger mal. Pour le Dr Paul Poirier, cardiologue, ces médicaments comme le Crestor ou le Lipitor pour baisser le cholestérol pourraient réserver de mauvaises, voire de tragiques surprises.

«Les gens qui vont prendre ces pilules en se disant qu’ils sont capables de manger des cochonneries parce que les pilules s’en occupent et qu’ils pourront éviter un infarctus, c’est faux. C’est une fausse sécurité», a affirmé sans détour, au cours d’une entrevue au Soleil, le responsable du Pavillon de prévention des maladies cardiaques à l’Hôpital Laval ou l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec.

Les pilules ou statines permettent de diminuer de 25 % les risques d’un nouvel infarctus ou d’un nouvel accident cérébrovasculaire (ACV). «Donc, il y a 75 % des gens qui vont ravoir un événement malgré qu’ils soient sous médication. Le médicament n’est pas une panacée. Ce n’est pas une pilule miracle», a souligné le Dr Poirier.

En prévention primaire, soit pour les personnes qui n’ont pas eu de problème cardiaque, mais dont le taux de cholestérol est élevé, la protection que procure la pilule est encore moins élevée. «Chez les femmes en prévention primaire, c’est loin d’être prouvé que la pilule diminue les risques. À l’inverse, le médicament peut causer un diabète chez 7 % d’entre elles», a dit le cardiologue.

Impression trompeuse

Le Dr Poirier en a contre l’impression trompeuse des messages des compagnies pharmaceutiques sur les avantages des pilules contre le cholestérol. «J’en ai contre le lobby des pharmaceutiques qui disent aux gens de prendre des pilules, que ça va sauver leur vie. Si on mettait le même argent en marketing, en publicité, pour que les gens mangent comme il faut et fassent de l’exercice, on réussirait à améliorer la santé de plusieurs personnes, mais ce n’est pas ce qui se passe», a-t-il déploré.

On l’entend souvent, mais la solution pour diminuer les risques de maladies cardiaques et d’ACV ne passe pas toujours par les médicaments, à l’exception de ceux qui ont une hypercholestérolimie familiale ou qui ont déjà eu un infarctus ou un accident cérébrovasculaire.

«C’est beaucoup plus facile de prescrire des pilules, mais il n’y a pas une médication qui vaut l’exercice et une alimentation adéquate. Si les gens aiment manger des chips, ils peuvent continuer à en manger, mais moins», a-t-il dit.

Et si un patient en prévention primaire ne peut pas faire d’exercice ou modifier son alimentation? «Je ne lui donne pas une ordonnance. Je lui dis de faire son bout et que je vais le revoir dans six mois. Après ça, on verra si on a besoin de pilules. Le feu n’est jamais pris en prévention primaire. Ce n’est pas quelqu’un qui a eu une crise cardiaque. On a du temps», a fait part le médecin.

«Ce serait facile pour moi de donner une ordonnance. J’aurais la paix. Le cholestérol du patient baisserait, mais je n’aurais pas fait ma job», a-t-il ajouté.

Un des arguments qu’il utilise pour convaincre les patients de revoir leurs habitudes de vie est de souligner qu’ils pourraient avoir de la difficulté à avoir une assurance-vie, une hypothèque, à voyager, avec des ordonnances à vie pour des statines.

«Il faut que les gens soient responsables de leurs affaires en santé. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas. Ils demandent plutôt aux docteurs de s’occuper d’eux. Les gens doivent se responsabiliser davantage. Ce n’est pas parce que le système de santé est gratuit qu’il faut qu’on s’en remette aux pilules au lieu de prendre des marches et de mieux manger. C’est aberrant», a-t-il conclu.

Selon une étude de 2010 du Conseil du médicament, plusieurs millions de dollars sont dépensés chaque année en traitements avec des statines sans que des bénéfices cliniques significatifs en résultent.

En chiffres

1 sur 4

On compterait environ 1,5 million de Québécois couverts par l’assurance médicaments publique et les régimes privés qui ont reçu une ordonnance pour diminuer le cholestérol, soit un adulte sur quatre.

642 987

En 2008, on comptait 642 987 utilisateurs de statines couverts par le régime public compara­ tivement à 487 656 en 2004.

+ 21,4 %

Entre 2004 et 2008, l’usage des hypolipémiants a augmenté de 21,4 %, selon une étude du Conseil du médicament.

500 M$

L’achat de statines coûterait plus de 500 millions $ au Québec par année. En 2007, les dépenses totales pour ces médicaments étaient de 1,9 milliard $ au Canada, soit 10 % du coût de tous les médicaments.

45 ans

Les médicaments sont prescrits autant aux hommes qu’aux femmes. En grande majorité, ces personnes sont âgées de plus de 45 ans. En 2008, plus de 18 000 personnes de 18 à 44 ans, couverts par le régime public, avaient utilisé des statines.

Des cardiaques qui s’ignorent

Un homme qui a un trouble d’érection est fort probablement un cardiaque qui s’ignore, selon le Dr Jean Drouin.

«Les artères du pénis sont plus petites et vont bloquer avant les coronaires. Son trouble d’érection va peut-être lui sauver la vie. Le Viagra et le Cialis peuvent aider en prévention cardiovasculaire», a expliqué au Soleil le médecin de Québec bien connu pour ses entrevues dans les médias, la publication de livres sur la santé et ses conférences.

On n’ira toutefois pas jusqu’à prescrire des médicaments contre les troubles érectiles pour éviter un infarctus. Comme le Dr Poirier, le Dr Drouin mise davantage sur l’exercice, de bonnes marches et une meilleure alimentation avec des quantités réduites pour diminuer les risques de problèmes cardiaques et d’ACV.

Les médicaments pour dysfonction érectile ont mis en lumière l’importance de la qualité des artères. «Un patient peut avoir un cholestérol élevé, mais s’il a une qualité d’artère intéressante, il ne bloquera pas. S’il a un cholestérol normal ou bas, mais des artères inflammées, plus rigides, il va bloquer plus facilement», a avancé le médecin.

«La théorie des 25 prochaines années, c’est le niveau d’oxyde nitrique à l’intérieur des artères qui fait en sorte qu’elles sont plus vasodilatables, moins dures, donc moins inflammées. L’enjeu est de trouver des facilitateurs de sécrétion de l’oxyde. Le plus connu, c’est la nitroglycérine que l’on donne à quelqu’un qui fait un infarctus. Ça dilate les artères», a-t-il ajouté.

Faire de l’exercice et consommer un peu de vin rouge augmentent la sécrétion d’oxyde nitrique. À l’inverse, une diète élevée en sel réduit la sécrétion d’oxyde, a indiqué le Dr Drouin.

Et faire de l’exercice ne signifie pas pour autant de devoir s’inscrire à un gym. «Marcher 10 000 pas trois fois par semaine, soit une marche d’une heure, fait l’affaire», a-t-il dit. En plus de réduire les risques de maladies cardiaques, l’exercice aide à mieux contrôler le diabète et à diminuer l’hypertension.

Santé globale

Pour soigner un patient avec un cholestérol élevé, le médecin s’en remet à un concept de santé globale qui tient compte de la génétique, de l’alimentation, si le patient fait de l’exercice ou non, du stress, de l’environnement, d’une habitation saine et du sens de la vie dans le contrôle de la douleur chronique.

«Si le patient a beaucoup d’antécédents familiaux de gens qui ont fait des infarctus jeunes, je vais être plus agressif du côté médicamenteux dans le traitement, surtout si c’est un cholestérol endogène ou de l’hypercholestérolémie familiale. Si un patient a eu un problème cardiaque, je n’ai rien contre l’idée de prescrire des statines», a-t-il dit.

Le poids ne sera pas un facteur important pour évaluer les risques pour la santé cardiaque. «On ne se sert presque plus de cette donnée. Le tour de taille est plus important pour évaluer le niveau de risque de problèmes cardiaques. En prévention primaire, ma position est de dire qu’on se donne six mois pour réduire le tour de taille avant de donner des médicaments», a affirmé le Dr Drouin. Cette première évaluation d’un patient peut prendre de 35 à 45 minutes.

Il propose à ses patients le régime méditerranéen, de manger du poisson, des fruits et des légumes et de prendre des oméga 3. Il ne s’attend pas à ce que toutes ces recommandations soient suivies de façon très stricte.

«Il faut avoir du fun dans la vie. On peut manger un Big Mac, mais pas à tous les jours. Quand c’est trop radical, ça ne toffe pas. Mieux vaut réduire les quantités», a-t-il suggéré.

Source: Pierre Pelchat, Le Soleil

par Sortir du Chaos et de l'illusion

Les laboratoires US de guerre biologique à l’origine de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest (interview de Francis Boyle)


Voici la retranscription en français de l’interview récente du spécialiste en guerre biologique, Francis Boyle(*), auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet des armes biologiques américaines, dont celui paru en français aux Editions Demi Lune « Guerre biologique et terrorisme« .

L’enregistrement audio de cette émission se trouve ici :http://prn.fm/cant-happening-102214/

 

T R A N S C R I P T I O N

David Lindorff (du site ThisCantBeHappening) : Nous avons l’honneur d’accueillir sur notre antenne le juriste (lawyer) Francis Boyle, qui s’est distingué en portant plainte auprès d’un tribunal de Malaysie contre George W. Bush et Dick Cheney pour Crime contre l’humanité. Il va nous parler de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest. Il a une opinion assez sinistre sur cette affaire. Francis, vous êtes là ?

Francis Boyle : Merci beaucoup David de m’avoir invité. Pour contextualiser cette conversation, je suis celui qui a écrit le brouillon de la loi anti-terroriste contre les armes biologiques (Biological weapons anti-terrorism act) en 1989. Les États-Unis ont mis en place cette loi au titre de la Convention sur les armes biologiques, qui a été votée à l’unanimité par les deux chambres du Congrès US et mise en application par George W. Bush, et vous pouvez lire tous les détails dans mon livre « Guerre biologique et terrorisme », tout y est documenté…

DL : D’accord. C’est évidemment un sujet que vous connaissez très bien, et j’ai lu une interview de vous par une chaine grecque, qui était assez surprenante, où vous dites que cette épidémie n’est pas ce qu’on dit, avec cette histoire de chauves-souris qui sont venues par les airs depuis le Zaïre, et qu’il s’agirait ici d’une variante de l’ « Ébola du Zaïre » ce qui est curieux, car le Zaïre est à plus de 3500 km de là. De quoi s’agit-il à votre avis ?

FB : Oui. Entre nous, toute cette histoire ne tient pas debout. Le gouvernement américain possède trois laboratoires BSL-4 (Bio Safety Lab niveau 4). Un en Guinée, un au Libéria, un en Sierra Leone, au coeur de l’épidémie en Afrique de l’Ouest. Et ces laboratoires BSL-4 font toutes sortes de  recherches plus effrayantes les unes que les autres sur les armes biologiques.

DL : Pourquoi sont-ils situés dans ces pays ?

FB : Parce que la Guinée n’a pas signé la Convention sur les Armes biologiques, le Libéria non plus. La Sierra Leone l’a signée, mais c’est une colonie britannique. J’avais d’ailleurs contesté dès 1988 le programme du Pentagone de recherche sur la Defense biologique (Biological Defense program) – et vous pouvez le lire dans mon livre, et leur avais demandé pourquoi ils conduisaient cette « double recherche », offensive et défensive, sur les armes biologiques au Libéria – qui à l’époque était une dictature militaire sous le joug du Capitaine Doe soutenu par la CIA – en contournant ainsi la Convention sur les armes biologiques. J’ai tout ici, dans un document du gouvernement US intitulé « Biological Defense program », et vous trouverez tout ça dans mon livre : le Center for Desease Control (CDC) menait des recherches dans le domaine biologique pour le Pentagone, en Sierra Leone, déjà en 1988, et probablement même avant ça, car il a fallu construire le laboratoire. De plus, la Columbia University menait aussi des travaux dans le domaine des armes biologiques (Bio warfare) pour le Pentagone, au Libéria, dès 1988. C’est celui que j’avais contesté en parlant de contournement des termes de la BWC (Bio-Weapons Convention, ou Convention sur les armes biologiques). Voyez-vous David, tout ceci n’est qu’une vaste opération de camouflage par le CDC. Ils sont plongés jusqu’au cou dans ces horribles travaux de recherche sur les armes biologiques depuis au moins 1988.

DL : Vous avez parlé de « double recherche », pouvez-vous préciser ?

FB : Bien, voilà ce qui se passe : pour pouvoir justifier ces travaux effrayants, si vous lisez les contrats, et j’ai pu en lire un avant que tout ne soit classifié, vous y lisez : « Il pourrait y avoir cette terrible forme de maladie émergente, et nous devons développer un vaccin pour cela. Et donc, nous allons commencer à travailler sur ce virus, il est possible que nous ayons à le modifier génétiquement et… »

DL : –    (l’interviewer a un rire nerveux)

FB : Non David, ne riez pas, j’ai lu ces documents…

DL : C’est un rire nerveux, c’est que je suis horrifié !

FB : …au début des années 1980, sous l’administration Reagan, au moment où j’ai pris connaissance de tout ça, « et par conséquent, nous devons le modifier génétiquement, ou faire une chose de ce genre, pour créer un vaccin et protéger tout le monde. » C’est ce qui était écrit, et ils font ça pour tous les virus : L’ébola, la fièvre hémorragique, etc…  Si vous ne me croyez pas, lisez l’édition du New York Times de vendredi dernier, où l’administration Obama a essayé d’enterrer tout ça au beau milieu du brouhaha des autres informations. Obama y dit : « Notre politique officielle est désormais d’arrêter ce type de recherche ». Ce qui revient à admettre qu’ils en faisaient.

DL : C’était vendredi dernier ?

FB : Oui, le New York Times de vendredi dernier. Cela revenait donc à admettre qu’ils en faisaient ce genre de recherches jusqu’à vendredi dernier au moins. Et si vous jetez un oeil sur la liste de ces recherches, le virus Evola n’y figure pas. Pourquoi ? Cela ne signifie pas qu’ils ne faisaient pas de « double recherche » sur l’Ebola. Toutes ces informations sont publiques. Si Ebola avait été sur la liste vendredi, les gens auraient demandé : mais que faisiez-vous avec ce virus Ebola ? Okay ? Cet article de vendredi dans le New York Times, c’est un peu le «Smoking Gun » [la preuve irréfutable – NdT], puisqu’Obama admet que les USA ont mené ce genre de recherches. Et en consultant la documentation, j’ai pu remonter jusqu’à l’administration Reagan, avec ces néoconservateurs qui sont arrivés au pouvoir et qui voulaient des armes biologiques. Et vous pouvez aussi lire le document du PNAC [Project for the New American Century, traduit en français ici] en 2000, ces mêmes néoconservateurs de l’ère Reagan qui écrivaient clairement vouloir développer des armes biologiques. Ils sont revenus au pouvoir avec Bush Junior, et ils ont poursuivi dans cette voie. Les néocons voulaient ces armes biologiques, et je pense que ça a vraiment commencé sous Reagan et ça a continué depuis. La deuxième administration Reagan l’a fait aussi, pas la première, mais 2e très certainement, sous l’influence de ce Richard J. Danzig qui est maintenant aux Conseils d’administration de ces sociétés « Big Pharma », et qui a établi des accords (bundle) en violation duForeign Exchange (FX) and Governement Act.

DL : A-t-on la preuve que la souche du virus Ebola qui sévit en Afrique de l’Ouest a été génétiquement modifiée ?

FB : Laissez-moi vous dire ceci : toutes les précédentes épidémies d’Ebola en Afrique avaient été circonscrites, avec un taux de mortalité de 50%. Celle-ci n’est pas « contenue » et a un taux de mortalité de 70%. Cela me fait dire que nous avons affaire à un organisme génétiquement modifié, ou OGM. Nous savons que ce type de travaux était conduit à Fort Detrick. Il y a aussi ce Docteur Kawaoka  à l’University du Wisconsin de Madison, il a admis sur sa page Web avoir modifié génétiquement le virus Eola pour le rendre plus violent. Il a aussi ressuscité le virus de la grippe espagnole, pour le Pentagone.

DL : Doux Jésus…

FB : Il a aussi fait des recherches très poussées sur la grippe, y compris en modifiant génétiquement le virus H5N1, ce virus de la grippe si dangereux qui a sévi lors de l’épidémie du SRAS [SRAS -Syndrome respiratoire aigu sévère – NdT]. Et le tout était financé par le Pentagone ou bien le National Institute of Health (NIH), ou par le CDC. Ces travaux étaient si dangereux qu’il avait dû transférer son laboratoire du Wisconsin vers le Winnipeg au Canada. Mais peut-être que les Canadiens ont dit « allez-vous-en d’ici, on ne veut pas de vous ici, c’est trop dangereux pour nous », je ne sais pas. Ce que l’on sait, c’est que le laboratoire BSL-4 Kanema de l’Université de Tulane était impliqué. Nous savons qu’ils font ce type de recherches sur les armes biologiques depuis longtemps. [Le laboratoire US de] Fort Detrick était impliqué aussi. Ils sont connus également depuis longtemps pour conduire ce genre de recherches, y compris sur le virus Ebola. Les trois laboratoires que j’ai cités ont tous été mis en place par l’USAID, qui n’est rien d’autre qu’une organisation servant de couverture pour la CIA. Je suis juste en train d’essayer de relier tous ces points entre eux, sur la base des informations que j’ai pu récolter sur ces armes biologiques, depuis si longtemps, depuis mes études à l’université de droit à Harward, et je me suis intéressé professionnellement à la question, puisque j’ai été appelé à défendre le Council for Responsible Genetics au début des années 1980, dans leur Comité sur les armes biologiques, etc…

DL : Êtes-vous en train de suggérer que cette épidémie a été déclenchée délibérément, ou bien s’agit-il selon vous d’un accident, le virus leur aurait échappé sans qu’ils le veuillent ?

FB : Vous savez David, si vous allez sur le site Web du Ministère de la Santé de la Sierra Leone – c’est une information publique – ils ont fermé le BSL-4 de Kanema cet été et ont affirmé que c’était la source de l’épidémie Ebola, car Tulane et d’autres laboratoires administraient des vaccins aux gens.

DL : Vous voulez dire, au personnel des laboratoires ?

FB : Non, aux gens, aux Africains de l’Ouest. Sur une large échelle.

DL : Mais alors il y a un vaccin ?

FB : Ils disent que c’est un vaccin, mais ce dont il s’agit, c’est un virus Ebola vivant. Ils ont affaire à un virus Ebola vivant pour ce soi-disant vaccin.

DL : (rire nerveux du journaliste)

FB : De plus, nous savons que le NIH, a travaillé avec le CDC, depuis un certain temps pour combiner le virus vivant d’Ebola avec celui du « rhume commun ».

DL : Mon Dieu. Mais pourquoi font-ils ça ? Comment justifient-ils cela ?

FB : Mais pour développer un vaccin, David.

DL : C’est comme ça qu’ils l’expliquent ?

FB : Eh oui, c’est tout ce qu’ils peuvent dire. Et donc, si vous mettez ensemble le virus vivant d’Ebola avec celui du rhume, vous obtenez quelque chose qui est aussi contagieux que le rhume commun, mais pas autant que la grippe. Et ça pourrait bien être ce à quoi nous avons affaire ici. Ce vaccin, ou appelez-le comme vous voulez, avec l’Ebola vivant et le rhume commun, a été injecté à une vaste population en Sierra Leone, et peut-être au Libéria, et c’est cela l’origine de l’épidémie, mais ne me croyez pas sur parole et allez voir le site Web du Ministère de la Santé de la Sierra Leone, et vous verrez que c’est leur conclusion sur ce qui arrive aujourd’hui, et c’est pour cela qu’ils ont ordonné la fermeture du laboratoire américain BSL-4 cet été.

DL : Est-ce pour cela qu’ils sont contents que les Cubains soient venus, plutôt que de voir les Américains arriver ?

FB : Le problème c’est qu’aucun Américain ne veut y aller, parce qu’ils savent que les USA sont derrière tout ça. Si vous regardez ce qu’ils appellent le « projet d’aide », c’est le vide total. C’est simplement une vaste mise en scène pour faire croire qu’ils font quelque chose, alors qu’en réalité ils ne font pratiquement rien.

DL : Les USA n’ont d’ailleurs envoyé aucun médecin là-bas, seulement des soldats, n’est-ce pas ?

FB : Exact. Et la raison est claire. La semaine dernière il y avait une réunion à Kanema, en Sierra Leone, avec des représentants de toutes ces organisations gouvernementales internationales, et la décision a été prise d’abandonner ces gens  à leur sort. Pas de traitement…

DL : Oui j’ai lu ça, il faut juste les laisser se soigner eux-mêmes.

FB : Ils les renvoient à la maison avec du simple Tylénol (Doliprane). Ils sont désormais livrés à eux-mêmes, et ce à quoi nous assistons est seulement une mise en scène pour faire croire que les USA font quelque chose, alors qu’ils ne font rien. Les Cubains se sont montrés très héroïques vu la situation. L’organisation Médecins sans frontières est là aussi, et certaines ONG privées également. Mais toutes les organisations gouvernementales sont absentes, en fait elles n’ont jamais voulu s’en mêler, car elles ont réalisé que derrière l’épidémie, il y avait la recherche US sur les armes biologiques, et qu’il n’y avait pas grand-chose à faire, et que tout ce qui restait à faire c’était de laisser tout cela se consumer tout seul.

DL : Ce que vous dites est vraiment convaincant et me suggère deux choses. La première est la suivante : bien que le milieu de la médecine inclut beaucoup de gens très motivés sur le plan de l’aide humanitaire, pourquoi n’avons-nous eu aucun « whistle blower » (lanceur d’alerte) sur ce sujet ? Cela semble si scandaleux et dégoutant que quelqu’un aurait dû lancer l’alerte, non ?

FB : David, si vous regardez au cours de toutes ces années, et ces informations sont du domaine public, il y a environ 27 ou 28 microbiologistes qui sont morts.[1]

DL : Oui j’ai lu ça.

FB :  27 ou 28 microbiologistes morts. Je pense que ces chercheurs ont menacé de sonner l’alarme sur ces programmes aussi dangereux qu’illégaux de recherches américaines sur les armes biologiques, et on les a tués. Et c’est pour cela que nous n’avons pas de lanceurs d’alerte ici, parce qu’ils seraient tués eux aussi. Je crois que c’est clair.

DL : Oui j’ai lu à ce sujet, la liste est impressionnante. Et il y a des histoires bizarres de personnes qui arrêtent leur voiture au-dessus d’un pont et qui sautent.

FB : Des histoires souvent ridicules. Et je crois que tous ces microbiologistes, plutôt que de sonner l’alarme, ils sont allés voir leur supérieur, au CDC ou ailleurs. Cette information a suivi son chemin et on les a éliminés. C’est pour cela que nous n’avons pas de whistle blowers. En fait nous en avions, mais ils sont tous morts, avant qu’ils n’aient pu lancer l’alerte.

DL : Avez-vous publié vous-même sur ce sujet et sur les documents dont vous me parlez ? Ou bien comptez-vous le faire ?

FB : J’ai donné des interviews. Nous avons envoyé des communiqués de presse, à l’Institute for Public Accuracy, et j’ai donné aussi des interviews. J’ai travaillé sur d’autres sujets depuis le début de cette crise, mais si vous allez sur Internet, vous verrez que je suis un peu partout…

DL : Oui, j’ai vu ça. Mais pas dans les grands médias, évidemment.

FB : Évidemment, quelqu’un a donné l’ordre de ne pas m’interviewer, et d’ailleurs, après les attaques à l’anthrax d’octobre 2001, j’ai été le premier à dire qu’il s’agissait d’anthrax militarisé (weaponized anthrax) provenant d’un laboratoire gouvernemental américain. Ce qui fut confirmé plus tard. Mais personne ne m’a interrogé. Je crois que j’ai donné en tout et pour tout trois interviews. Une à FoxNews, à Boston, j’ai donné une conférence à Harvard, et une interview à la BBC, et à une chaine de la Pacific à Washington. Je parle de tout ça dans mon livre. Cela s’est passé dans les tout premiers jours après les attaques, et après plus rien. Le grand silence. Plus personne n’a parlé avec moi. Plus personne parmi les grands médias. Ces communiqués de presse sont envoyés à plus de 8000 organes de presse tout autour du globe, tous l’ont vu. Tous savent qui je suis. Mais il est clair qu’un ordre a été donné de ne pas avoir affaire avec moi. Et donc, non, rien dans les grands médias.

DL : Et les médias grands publics dans d’autres pays ? En Russie, en Chine, ou ailleurs ?

FB : Très peu. En Grèce, j’ai donné une interview[2], mais c’est la seule. Le gouvernement US a probablement dit à ces médias de se tenir éloignés de Francis Boyle. Mais vous savez, je ne suis pas payé pour les interviews, je ne suis pas en train de perdre de l’argent, je fais ça pour informer le public, pour essayer de faire sortir la vérité. Les seuls à m’interviewer ont été des médias alternatifs comme le vôtre.

DL : Ce qui est étrange dans cette histoire d’armes biologiques génétiquement modifiées, c’est qu’il est difficile de prévoir là où elle va frapper. En supposant que ce que vous dites est exact, comment peuvent-ils penser tenir ce virus éloigné des USA ?

FB : Vous savez, M. Duncan est ici, aux USA. Il est le cas « zéro » [le premier en dehors des USA – NdT]. L’information est déjà parue, selon laquelle le Département de la Défense et le NIH ont un programme informatique qui simule tout ça, ils savent exactement ce qui va se passer, en Afrique de l’Ouest, et maintenant en Espagne, à cause de l’infirmière là-bas [apparemment guérie depuis – NdT], et ici aux USA à cause de M. Duncan, puisque c’est le cas « zéro », et donc la liste de ses contacts. Ils peuvent insérer tout cela dans l’ordinateur et voir ce qui va se passer. Dans le New York Times hier, il y avait un diagramme avec M. Duncan et tous ses contacts et leurs enfants, et chacun d’entre eux est surveillé. Sauf pour les 4000 personnes sur le bateau de croisière. Ce qui pose la question : pourquoi n’ont-ils pas mis tous les gens du bateau en quarantaine ? Au Nigéria, où ils disent avoir stoppé l’épidémie…

DL : J’allais vous poser la question…

FB : …ils ont contacté tout le monde et les ont mis sous surveillance. Mais pas les 4000 personnes sur le paquebot de croisière, et ils ont tous été relâchés sur recommandation du CDC, qui a d’ailleurs dit « il suffit d’une période de quarantaine de 21 jours », et donc tous les gens sur le paquebot ont été libérés. L’OMS (Organisation mondiale de la santé) a critiqué cette décision et dit qu’il faudrait une période de 42 jours de quarantaine. Et si vous regardez les chiffres qui sont derrière les calculs de l’OMS et qui ont abouti à cette période de 42 jours, c’est toujours avec un taux d’efficacité de seulement 98% et un taux de mortalité de 50%, et non de 70%, ce dernier taux indiquant qu’il semble bien s’agir d’un virus manipulé génétiquement et qui est bien plus dangereux que l’Ebola d’origine. Je ne suis pas sûr, mais il me semble que par sécurité, il faudrait parler de période de quarantaine de 50 jours, et d’ailleurs tous ces chiffres du CDC ou de l’OMS sont simplement basés sur le rapport risque/coût, c’est tout. Ils disent simplement que c’est moins couteux de laisser les gens partir après 21 jours, ou 42 jours, plutôt que de les garder en quarantaine.  C’est une analyse risque/coût (Cross-Benefit Analysis) au détriment de nos vies. Peut-être que nous serons comme le Nigéria, mais la différence entre le Nigéria et nous [aux USA] est que le Nigéria a retrouvé tous les contacts, alors que nous avons laissé partir dans la nature 4000 personnes de ce paquebot, et avec ces 4000 personnes, ils ont simplement appliqué les protocoles du CDC qui n’ont aucune  valeur et sont très dangereux .

DL : Et bien sûr vous ne pouvez pas mettre en quarantaine toutes ces 4000 personnes ensemble, il faut les maintenir séparées les unes des autres, pour ne pas qu’ils se contaminent les uns les autres.

FB : Absolument. Ils auraient très bien pu les garder sur le bateau pendant 42 jours en leur expliquant les raisons, avant de les relâcher.

DL : Vous faites le lien entre l’OMS et le CDC en disant qu’ils sont tous deux coupables dans cette affaire, mais l’OMS comprend de nombreux pays, il y a du personnel venant de pays qui ne sont pas alignés avec les USA. Comment est-ce que ça marche ?

FB : David, je ne me rappelle pas exactement les chiffres, mais l’OMS est financée sur la même base que l’ONU, puisque c’est une organisation spécialisée.

DL: Oui, environ 25% par les USA

FB : En effet, environ 25%, plus le fait que nous devons des milliards de dollars à l’ONU.  Et celui qui paie les musiciens choisit la musique. Je ne sais pas à quel point nous devons de l’argent à l’OMS, mais ils font ce qu’on leur demande de faire. Ils peuvent à l’occasion essayer de révéler quelque chose, mais ils ne vont pas se dresser contre nous. Toujours est-il que le CDC est trempé jusqu’au cou dans cette affaire, et ils font du camouflage, nous ne pouvez pas croire un mot de ce qu’ils disent.

DL : Ouah. Mais alors que devons-nous faire face à cette situation ? Vu que nous ne pouvons pas faire confiance au gouvernement sur ce sujet ?

FB : Mon conseil est le suivant : heureusement, selon la Constitution des États-Unis, la Santé publique ne relève pas du gouvernement fédéral. Elle dépend des États, des comtés, des villes, des communautés, des villages, des autorités sanitaires [locales]. Et donc ces autorités sanitaires locales doivent s’unir, et faire appel à des experts indépendants qui n’ont jamais participé à aucune recherche dans le domaine des armes biologiques pour le gouvernement américain, et partir de là, élaborer une stratégie pour leurs communautés. Si vous lisez les médias grands publics, ils contactent tous ces experts qui ont trempé dans des recherches en guerre biologique pour les USA.

DL : Oui, c’est un peu comme demander à des généraux de nous parler des guerres.

FB : Exactement. C’est la même chose. Vous ne pouvez accorder aucune confiance à ce qu’ils disent. Et donc, je pense qu’il y a vraiment quelque chose à faire, mais que cela doit se passer au niveau local, dans les communautés et avec les autorités sanitaires. Par exemple nous avons eu une crise ici à l’université de Droit. Les abrutis en charge de l’Université ont envoyé un juriste gouvernemental taiwanais. Et ils savaient que nous avions affaire à la tuberculose. J’ai découvert cela, et ai demandé que tout le monde passe des tests, ils ont refusé, alors j’ai lancé l’alerte. Et avec les autorités sanitaires et tous ici, nous avons finalement obtenu que tout le monde passe les tests et nous avons découvert que cinq personnes étaient infectées par la tuberculose. Heureusement on a pu les traiter et elles s’en sont sorties. Sans cela, elles auraient développé la tuberculose, qui est une maladie extrêmement contagieuse. Ce qui est sûr, c’est qui faut travailler avec les autorités sanitaires locales et des spécialistes qui n’ont jamais été impliqués dans des travaux de guerre biologique pour le gouvernement des USA. Malheureusement nous avons 14 000 scientifiques qui participent à ces affreuses recherches en armements biologiques pour le compte du gouvernement des USA, je les appelle les « scientifiques de la Mort », et plus de 1500 laboratoires aux États-Unis qui font ce type de recherche. Vous ne pouvez pas leur faire confiance.

DL : Combien de laboratoires ?

FB : 1500

DL : Mon Dieu. Alors que nous ne sommes pas censés en faire.

FB : C’est exact. Ce genre de travaux de recherche constitue un crime selon les termes de la loi antiterroriste contre les armes biologiques que j’ai écrite, et nous avons dépensé 79 milliards de dollars depuis le 11 septembre 2001 dans ce domaine de recherche, ce qui en dollar constant, représente le double de ce qui a été dépensé pour le projet Manhattan pendant la Seconde Guerre mondiale pour développer la bombe atomique.

DL : Mais ils disaient que c’est défensif.

FB : Oui, ils disaient que c’est pour protéger le peuple américain de virus émergents comme l’Ebola. Mais regardez autour de vous. Vous pouvez voir qu’ils n’ont rien fait pour protéger qui que ce soit.

DL : S’ils travaillaient sur un vaccin depuis les années 80, ils devraient l’avoir maintenant, non ?

FB : Soit ils devraient l’avoir, soit ils l’ont, et c’est dans les tiroirs au fin fond du laboratoire de Fort Detrick, mais ils ne nous le disent pas, et ils ne l’ont donné qu’aux plus hauts dirigeants de notre gouvernement. C’est très similaire aux attaques à l’anthrax d’octobre 2001, et le fait que tout le monde à la Maison-Blanche prenait du Cipro [antibiotique prévenant les effets de l’anthrax – NdT]. Mais bon, je ne sais pas s’ils l’ont. Soit nous avons le vaccin, soit tout cet argent a été dépensé en pure perte, soit (et ce n’est pas incompatible) ils l’utilisent pour développer des armes biologiques. Faites votre choix. Je dois vous laisser. Merci de l’invitation.

DL : Merci Francis d’être venu si rapidement à notre antenne.

 

(*) Francis A. BOYLE est un professeur états-unien de renommée mondiale dans sa spécialité, le droit international, qu’il pratique et dont il est un ardent défenseur. Il rédigea la loi anti-terrorisme de 1989 sur les armes biochimiques, la législation américaine mettant en application la Convention sur les armes biologiques de 1972. Titulaire par l’université de Harvard de deux doctorats, un de Droit (Magna cum laude) et un en Sciences politiques, il enseigne à l’université de l’Illinois, à Champaigne.

(Source Editions Demi Lune)

Traduction IlFattoQuotidiano.fr

Notes de la Rédaction :

  1. A ce propos, il se trouve que Glenn Thomas, consultant de l’OMS à Genève et spécialiste du virus Ebola est mort en juillet dernier dans le crash du Vol Mh17 en Ukraine, en même temps que 17 spécialistes du virus du SIDA qui se rendaient à un conférence à Kuala Lumpur. Il est évidemment trop tôt pour en tirer des conclusions hâtives, c’est certainement un coup de malchance.
  2. L’interview de F.Boyle par la chaine grecque sera bientôt disponible en français sur ce site

 

par Sortir du Chaos et de l'illusion

OGMm vers une alerte mondiale?


cultures OGM

 

Aux grands reportages; les enjeux économiques autour des organismes génétiquement modifiés (OGM) sont énormes pour les multinationales qui les fabriquent. Une récente étude indépendante tendrait à prouver que ces OGM ne seraient pas aussi inoffensifs pour la santé humaine que ce qui a été déclaré pour obtenir leur mise en marché. Les pouvoirs publics mettent en place des commissions susceptibles de les aider à prendre des décisions éclairées concernant l’interdiction ou pas de ces OGM. Mais les spécialistes qui y siègent sont ceux-là même qui ont travaillé à leur élaboration dans le privé. Un débat passionné tout autant politique.

Plusieurs personnes m’ont dit ne pas avoir accès au reportage sur tou.tv donc voici la vidéo.

 

par Sortir du Chaos et de l'illusion

Je suis une survivante du Gardasil


Jenny-Keats

Jenny Keats, 30 avril 2014

J’ai lutté pendant des années pour finalement atteindre le point où je pensais que ma vie était aussi proche de la perfection que possible et… que ça allait finalement arriver. Tout cela c’était avant le Gardasil. Maintenant tout est différent.

Je commençais à vivre pleinement ma vie. Je suivais les cours à l’université pour pouvoir devenir technicienne vétérinaire et je n’avais plus que deux cours à suivre.

J’adorais les randonnées, les animaux, le kayak et les activités de plein air. Avec mon chien qui vient d’avoir 5 ans, j’adorais faire de longues randonnées dans les bois et la campagne. J’aimais passer beaucoup de temps avec ma sœur et mes meilleurs amis. J’adorais le shopping, la cuisine, le jardinage, me rendre dans le centre commercial ou à la bibliothèque.

J’étais supposée reprendre les cours en septembre de cette année 2014. Le Gardasil a rendu tout cela impossible.

La première fois que l’on m’a proposé le Gardasil, mon médecin de famille m’a fait subir plusieurs tests pour vérifier si je ne souffrais pas de tel ou tel problème. Comme tout s’était avéré parfait, ce médecin me proposa de faire le Gardasil. Je ne pensais pas que c’était important, je ne voyais personne et n’avais pas l’intention de rencontrer quiconque avant d’avoir terminé mes études. J’ai donc refusé. Quand j’ai parlé de mon ami, le médecin m’a à nouveau recommandé le vaccin. Comme le médecin insistait, j’ai pensé que ce serait peut-être une bonne idée. Après tout, je savais que la plupart des gens étaient porteurs d’une forme ou d’une autre de HPV. Le médecin m’a ensuite fait comprendre que personne ne devait prendre le risque de faire un cancer du col de l’utérus. Elle m’a expliqué qu’il s’agissait bien de ma propre protection. Comme j’essayais déjà de tout faire pour être en bonne santé et protégée, j’ai fini par accepter.

C’est ainsi que j’ai reçu ma première injection de Gardasil en juin 2013. Juste avant que l’on ne m’injecte le vaccin, j’ai demandé au médecin si ce vaccin produisait des effets secondaires. Elle a alors répondu :

 

« Non, Il n’y a aucun effet secondaire à part peut-être une douleur au site d’injection. »

J’ai fait confiance à l’information que ce médecin, qui a 30 ans de pratique, me donnait. Je ne savais pas que l’on n’avait pas encore pu prouver que le Gardasil prévenait le cancer du col. Des frottis réguliers auraient pu faire bien mieux pour moi et avec moins de dégâts à ma vie et à ma santé. Malheureusement, à l’époque, je n’avais jamais consulté des sites comme Sanevax ou entendu parler de risques sanitaires graves à la suite des vaccins contre le HPV. J’aurais tout donné pour savoir à l’époque ce que je sais aujourd’hui. Je voudrais tellement pouvoir revenir en arrière et n’avoir jamais reçu ce vaccin. Malheureusement il m’est impossible de défaire ce que j’ai fait.

Deux semaines après ma première vaccination, alors que j’étais à Toronto chez mon ami, j’ai commencé à souffrir de terribles migraines et de nausées qui n’arrêtaient pas. J’ai, un moment, pensé que je commençais une grippe ou que j’avais attrapé un virus ou un microbe qui traînait. Après quelques jours, j’ai finalement dû rentrer à la maison parce que je me sentais trop mal. J’ai été malade pendant trois ou quatre semaines.

Finalement, la situation a commencé à s’améliorer. Je souffrais cependant encore de légère migraine et de trouble à l’estomac. Je n’ai fait aucun rapprochement avec le vaccin malgré le fait que j’attrapais rarement un rhume, la grippe ou un virus.

Je retournai voir mon médecin qui m’assura que ça ne devait être qu’un virus ou l’autre. Comme ma santé s’était quelque peu améliorée, je l’ai crue. Tout le mois suivant j’ai souffert de migraines et de légères nausées.

Quand j’ai dû me rendre chez le médecin pour ma seconde injection de Gardasil en août 2013, je me sentais méfiante. Je ne saurais dire pourquoi, mais je n’avais pas vraiment envie de m’y rendre. Quelque chose en moi, une espèce d’ intuition me disait de ne pas aller faire ce vaccin.

J’ai quand même été parler avec le médecin et lui ai à nouveau demandé si ce vaccin ne présentait pas d’effets secondaires. Je lui ai expliqué que je m’étais sentie un peu bizarre, que je ne m’étais pas sentie bien pendant un mois ou deux après avoir reçu le vaccin.

Le médecin me rassura à nouveau en me disant que c’était un virus ou un microbe et que la vaccination ne causait ni migraines ni nausées.

Malgré tout, j’étais réticente à me faire injecter le vaccin. Je me souviens avoir demandé à l’infirmière si elle n’avait jamais entendu parler d’effets secondaires après ce vaccin. Elle reprit le même discours que celui du médecin : ça n’avait rien à voir avec le vaccin. Il ne fallait pas que je m’inquiète.

J’ai, à nouveau, fait confiance à ce médecin qui pratique depuis une trentaine d’années. Elle ne m’avait jamais menti ou mal conseillée. C’est ainsi que je reçus ma seconde dose de Gardasil.

A nouveau, j’aurais souhaité pouvoir revenir en arrière et n’avoir pas pris cette décision. J’aurais tant voulu avoir écouté mon intuition. Jamais plus je ne ferai davantage confiance à un médecin plutôt qu’à ma propre intuition, qu’à mon propre corps.

J’étais sous antibiotiques pour une soi-disant infection du sinus quand j’ai été vaccinée pour la deuxième fois. Mon médecin ne m’a rien dit à ce sujet bien qu’elle savait, puisque c’était elle qui m’avait prescrit ces antibiotiques. Pourtant on n’est pas censé vacciner quand on est sous antibiotiques étant donné que le système immunitaire est déjà affaibli.

Je suis, à nouveau, allée rendre visite à mon ami environ deux semaines après la deuxième injection. J’étais à peine arrivée que je suis à nouveau retombée malade. Les migraines étaient si terribles que je ne supportais plus les lumières et les nausées. Ces dernières étaient si fortes que j’ai vomi plusieurs fois. Nous sommes sortis et j’ai passé la plupart du temps dans les toilettes publiques à vomir.

Mon ami m’a ensuite emmenée aux urgences de l’hôpital. On a fait une prise de sang et j’ai subi un scanner. Mais ils n’ont rien trouvé. Ils m’ont dit qu’il s’agissait d’une migraine et m’ont administré des médicaments anti-nausées par perfusion, puis m’ont renvoyé à la maison.

J’ai de nouveau été malade pendant un mois. Mon médecin m’a prescrit des médicaments contre la migraine, mais n’a rien fait d’autre.

Je craignais que ces problèmes soient dus au vaccin, mais mon médecin m’a prétendu que ce n’était pas le cas. Mais je voulais toujours lui faire confiance.

Dans la suite, mes problèmes ont semblé s’apaiser un peu, bien que j’avais encore des nausées et des migraines tous les jours. J’ai aussi connu des problèmes de sommeil ; je devais me réveiller presque toutes les heures pour uriner. Je me sentais constamment fatiguée comme si j’avais la grippe.

J’éprouvais maintenant des crises d’anxiété alors que je n’avais jamais connu ce genre de réactions même dans les situations les plus difficiles que j’avais eu à traverser.

J’avais épargné pour faire un voyage à Mexico. C’étaient mon premier vol et mes toutes premières vacances. Ce fut une catastrophe. Chaque matin quand je me réveillais, j’étais pleine de nausées. Je devais prendre du Gravol et des pilules de gingembre pour tenir le coup la journée. Je grignotais à gauche et à droite, mais en général, j’étais trop malade pour pouvoir manger…

Quand je suis rentrée de voyage, j’ai passé le plus clair de mon temps entre les urgences et les visites médicales. Comme je faisais des reflux acides, mon médecin me prescrivit des médicaments anti-acide. Ces médicaments ont paru m’aider un peu, mais n’ont pas pu régler le problème ;

J’ai subi scanner, ECG, rayons X, IRM, échographie, prises de sang… comme si j’étais un cobaye. Les résultats de ces examens se sont avérés négatifs, tout paraissait normal. L’endoscopie que j’avais subie pour mon estomac n’a rien montré non plus. Comme il ne trouvait rien, le médecin m’a dit que j’étais probablement trop anxieuse. Il m’a alors recommandé de consulter un thérapeute spécialisé dans les problèmes comportementaux.

Personnellement, je ne pensais pas que mes problèmes étaient dus à de l’anxiété. Et pourquoi maintenant alors que jusqu’alors tout allait bien dans ma vie. J’avais un homme que j’aimais. Notre relation était excellente, j’allais à l’université et brusquement je serais devenue anxieuse avec des reflux d’estomac ? Je ne pouvais y croire.

Mon médecin a continué à me prescrire des médicaments contre l’anxiété. Frustrée, j’ai pris le Prozac qu’elle me prescrivait bien que je n’y croyais pas trop. J’ai pris ce médicament pendant sept jours. Dès le troisième jour, j’ai commencé à vomir et j’ai perdu plus de 4 kilos en une semaine. Le quatrième jour, j’ai commencé à faire des crises d’anxiété qui duraient de trois à quatre heures. J’ai alors arrêté de prendre ces médicaments mais les crises matinales d’anxiété ont encore continué pendant plus de 3 semaines. Elles ont fini pas diminuer avec le temps jusqu’à ce qu’elles deviennent gérables.

J’ai eu un rendez-vous pour une échographie afin de vérifier si je ne faisais pas une pancréatite. Ce jour-là je me suis sentie vraiment très malade. J’ai été transportée aux urgences, bien que je n’en comprenais pas l’utilité. Quand j’ai commencé à penser que tous mes problèmes devaient être dus au Gardasil, j’ai éprouvé le besoin de pouvoir vraiment me confier à un médecin. Quand on me donna les résultats de l’échographie qui étaient normaux, j’ai éclaté en sanglots parce que je ne savais plus quoi faire. Tous les tests étaient normaux et moi j’étais vraiment malade. Je n’avais jamais été malade avant ces vaccins. J’ai refusé de faire la troisième injection.

 

Le médecin urgentiste se pencha alors vers moi et m’a dit calmement :

« Les médecins ne sont pas censés vous le dire, mais personnellement je crois que tous vos problèmes sont dus au vaccin. Vous avez effectué tous les tests possibles et imaginables sans aucun résultat et vous n’êtes vraiment pas bien. Avez-vous essayé des alternatives à la médecine occidentale ? Je crois que vous devriez chercher une alternative et consulter un docteur en naturopathie. »

Je ne pouvais pas croire ce que j’entendais. Mon médecin de famille avait pourtant rejeté le fait que la vaccination soit la source de mes problèmes., bien que je lui avais précisé que j’étais en parfaite santé avant la vaccination et plus bien du tout quelques semaines après…

Mais les médecins ne sont pas vraiment censés dire pareilles choses. – Alors que ce médecin m’avait prescrit le Gardasil, si jamais elle admettait que les problèmes pouvaient venir du Gardasil, elle aurait vraisemblablement connu des problèmes. D’abord pour m’avoir menti alors qu’il y avait bel et bien des effets secondaires, pour ne pas m’avoir dit, – alors qu’elle y était légalement obligée – qu’il y avait des effets secondaires pour avoir ignoré mes préoccupations alors que je lui avais manifesté mes inquiétudes dès la première injection.

J’ai finalement pu trouver quelqu’un de Sanevax sur Facebook  et me suis jointe à un groupe de jeunes-filles, de femmes et de familles qui ont eu à souffrir après avoir reçu le Gardasil. Ce fut une fameuse aubaine pour moi car jusqu’alors je m’étais sentie si seule. Maintenant je sais que je ne suis plus seule. Ce sont des centaines de filles,  de femmes et de familles qui ont à passer par cette épreuve grâce au Gardasil de Merck et au Cervarix de GlaxoSmithKline.

Quand j’avais abordé ces questions avec mon médecin, elle n’a même plus pu me regarder en face. Elle s’est contentée de me prescrire des médicaments contre l’anxiété et m’a dit qu’elle ne pourrait pas m’aider si je ne faisais pas ce qu’elle m’ordonnait et si je ne prenais pas les médicaments qu’elle me prescrivait.

Il est possible qu’honnêtement, à l’époque, elle ne savait pas. Mais aujourd’hui, je crois qu’elle soupçonne ou même qu’elle est peut-être convaincue que c’est le Gardasil qui m’a causé tous ces problèmes. Comment, alors qu’elle me connaissait depuis ma naissance, qu’elle était au courant de toute l’histoire de ma vie, qu’elle savait les épreuves par lesquelles j’étais passée, comment pouvait-elle mettre tout cela sur le compte de l’anxiété ? Comment tout cela était-il possible alors que j’aurais dû être la plus heureuse des filles et que j’étais maintenant contrainte de vivre tous ces problèmes de santé ? La réponse est qu’elle ne  pouvait pas ignorer tout cela, à moins de se mentir à elle-même.

Ma vie de chaque jour continue à être un véritable combat. Quand je parviens à accomplir une petite chose, c’est toute une victoire. Mon compagnon m’a merveilleusement aidée. Nous allons déménager dans trois semaines. Malheureusement je ne suis plus ce que j’étais. C’est par exemple pour moi tout une lutte pour me rendre chez l’épicier et revenir. Tous les jours, je continue à souffrir de migraines et de nausées et je suis tout le temps épuisée. Je dois vraiment me faire violence pour sortir du lit ou pour manger. Je ne puis plus me promener avec mon chien comme auparavant ou faire quelque activité physique. Je suis remplie de gratitude quand parfois je puis manger un peu correctement. Depuis le début de cesproblèmes, j’ai perdu environ 7 kilos. J’ai été classée dans les handicapés et ai dû renoncer au moins temporairement à mes cours à l’université. Bien que je le déteste, je suis obligée de m’occuper sans arrêt de ma santé. Pourquoi tous ceux qui m’entourent et moi-même sommes-nous contraints de souffrir parce que j’ai voulu faire confiance à mon médecin ?

J’ai commencé à consulter une naturopathe de Toronto, Ananda More. Elle travaille en collaboration avec le Dr Isaac Gordon d’Australie. Ce médecin est un spécialiste bien connu des dommages causés par les vaccins. Je vais entamer la thérapie CEASE. Pour le moment, je prends les compléments alimentaires qu’elle m’a proposés et je fais les bains de détoxification pour me préparer à la cure.

J’espère que cette thérapie pourra fonctionner, car tout ce que j’ai tenté précédemment a échoué. Il faut à tout prix que je garde l’espoir d’en sortir un jour pour pouvoir revivre comme avant et pour pouvoir aussi en aider d’autres.

Le Gardasil m’a volé ma santé, ma joie de vivre, ma vie et tous les buts que je poursuivais… mais je vais me battre et sortirai plus forte de la lutte. Les vaccins contre le HPV ont atteint tellement de personnes. J’espère que nous allons trouver les moyens de nous en sortir. C’est le fait de savoir que d’autres que moi sont passés par les mêmes souffrances et sont restés forts et battants, le fait de savoir aussi que certains en sont sortis qui me permettent de vivre jour après jour.

Nous n’abandonnerons pas, nous ne lâcherons pas – Nous sommes les survivants des vaccins contre le HPV !

 

Source : SaneVax

Source:  Initiative Citoyenne

USA

Rapports d’effets secondaires des vaccins contre le HPV

Mise à jour des chiffres au mois de MARS 2014  

 

VAERS : Organisme officiel américain de vaccinovigilance qui recueille les rapports d’effets secondaires possibles des vaccins aux Etats-Unis. Il est contrôlé par le CDC et la FDA

 

Description Total
Infirmes 1.093
Décès 162
N’ont pas récupéré 6.858
Frottis du col anormaux 562
Dysplasies du col de l’utérus 239
Cancers du col de l’utérus 77
Cas où le pronostic vital a été engagé 622
Visites aux urgences 11.428
Hospitalisations 3.544
Séjours hospitaliers prolongés 246
Effets secondaires graves 4.732
Effets secondaires 34.240

 

P.S. Seuls 1 à 10% des effets secondaires seraient généralement rapportés

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